24 avril 2008
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Après
de longues heures d'averse, une éclaircie vient illuminer
l'après-midi.
Dans le train me menant à lausanne,
j'observe défiler, par petits morceaux entrecoupés de
maisons et d'immeubles, le lac léman.
Aussi lisse que le
verre d'une fenêtre, il laisse la blancheur des alpes enneigées
se fondre dans ses reflets. Douce caresse pour les yeux, qui
grignotent, une à une, ces seules miettes de paysages, avant
qu'il ne soit trop tard, que le train s'éloigne, tristement
pour eux et pour moi, du rivage et de ces délicieux morceaux
d'horizon entrevus.
Reno
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